14 septembre 2023
Jasmin Desharnais
Ayant grandi à Victoriaville, il croit quand même avoir des racines andalouses ou inca, de par sa passion pour le flamenco et pour la culture latino-américaine. Après des études en psychologie et en relations interethniques, ainsi que de multiples voyages à travers le monde, une petite affiche aperçue dans les couloirs de l’UQAM le mène à rencontrer Hugo. Dès la première journée d’ouverture du salon de thé en 1998, on peut trouver Jasmin chez Camellia Sinensis...et ça sera le début d’une longue aventure.
Premièrement serveur à temps partiel pendant ses études, le thé coule dans ses veines de tard le matin (comme le réveil ne sonne que vers midi) à tard le soir. Il s’associe avec Hugo et François en 2000 et développe par ses recherches la première structure de l’école de thé, à même le divan du salon de thé. Il fait ses premiers pas dans l’entrepreneuriat en organisant l’ouverture de la première boutique, adjacente au salon de thé en 2001. Trop motivé de partir en Chine en 2003, malgré le SRAS, il fera les premiers achats de thés d’importation dans les jardins de thés en mimant pour se faire comprendre auprès des chinois. En 2004, à la recherche de nouveaux défis et d’indépendance, il part à Québec pour ouvrir la succursale du quartier St-Roch.
Il s’occupe maintenant des opérations et des ressources humaines pour l’entreprise. Jasmin aime le travail bien fait et l’efficacité, tout en s’intéressant à l’humain et au service à la clientèle. Habile à la fois avec un gaiwan, un marteau ou en cuisine, on peut dire qu’il est multi-tâche, autodidacte et passionné, en plus d’être très à l’aise autant avec le yin que le yang! Mais, sur une patinoire, le yang l’emporte rapidement.
Périples du dégustateur
